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Ce que j'entends par décodage cellulaire


Qu’est-ce que le décodage cellulaire ? Pourquoi ce nom ?

On croit reconnaître dans l’appellation « décodage cellulaire » deux termes bien plus familiers qui sont : le décodage biologique et la mémoire cellulaire. Prenons le temps de définir ces deux appellations pour ensuite comprendre ce qu’est ma thérapie.



Le décodage biologique :

Le décodage biologique ou biodécodage est une expression plus commune en France. Selon Christian Flèche, le fondateur du décodage biologique des maladies, les maladies physiques résultent de maladies psychiques. Cela signifie que le corps réagit d’une manière particulière, et utilise la douleur ou la maladie - les maux physiques - pour exprimer un mal psychique plus profond, tel que la dépression, le stress, le traumatisme, etc.


Le but du décodage biologique est de découvrir ce que cherche à exprimer le corps. D’où viennent les symptômes ? Pourquoi existent-ils ? A partir de quand est-ce que la maladie s’est déclenchée ?

La séance se fait autour d’une discussion entre le patient et le thérapeute, afin de trouver les éléments déclencheurs, les symptômes qui surviennent avant une crise d’angoisse par exemple. Les comprendre, les contextualiser et les isoler.


Christian Flèche dit qu’en ayant connaissance de ces éléments, 10% des personnes peuvent guérir. Pour le reste, il faut aller plus en profondeur dans la thérapie. Par exemple « pour le foie, c’est le manque. La tendance à tout faire vite, dans l’urgence et la précipitation sont à l’origine des troubles de la thyroïde. Les problèmes de vue apparaissent lorsque l’on a été témoin de quelque chose que l’on n’aurait pas voulu voir. Si on m’oppresse ou empiète sur mon territoire, mon corps développera une cystite » (Le décodage biologique).


Notre corps ne réagit pas « bêtement » selon les méfaits que nous lui infligeons (tabac, drogue, alcool, médicaments, etc.). Notre corps est bien plus complexe, et il prend en compte les émotions, les ressentis et les sentiments. Il s’agit d’un aspect bien plus profond, et il s’adapte constamment selon les maux psychiques. Selon le degré de gravité de l’adaptation, le corps exprime le mal sous la forme d’une maladie.


Les scientifiques savent que l’esprit et le corps sont étroitement liés. Par exemple, amener de la joie dans les hôpitaux pour les enfants qui ont un cancer, leur apporter un moral plus positif, les aident à surmonter les effets néfastes de la chimiothérapie et les résultats sont meilleurs. Cependant, les scientifiques ne savent pas jusqu’à quel point est-ce que cela peut être efficace. Le mental a un pouvoir très important sur notre corps. Une personne malade, réagira mieux avec un esprit positif qu’avec un esprit négatif.

En résumé, cette thérapie ressemble beaucoup à une séance de psychothérapie : le patient est écouté par son thérapeute, sur sa vie, son passé, ses ressentis afin de comprendre ce que le corps souhaite exprimer et comprendre ce qui a provoqué la maladie.



La mémoire cellulaire :

Le terme « mémoire cellulaire » vient de la pseudo-science. Il est tout d’abord connu pour son terme scientifique dans le domaine de la génétique, mais il est aussi connu pour sa « croyance » psycho-spirituelle, répandue dans le domaine de la médecine alternative.


Plusieurs scientifiques, dont Edith Heard, ont présenté des conférences sur le sujet de la mémoire cellulaire et l’ont mis en lien avec l’épigénétique. Mais en médecine, cela ne signifie pas que nos cellules contiennent des traces de traumatismes physiques, et le sujet reste ambigu sur les questions de ce que peuvent contenir nos gènes. Y a-t-il une mémoire dans nos cellules ? Si oui, comment est-elle mémorisée ? Qu’est-ce qui est mémorisé ? Et comment l’interpréter ?


La mémoire cellulaire décrit que les cellules d’un corps vivant possèdent plusieurs informations qui vont au-delà de ce que connaît la médecine (synapses, neurones, etc.). Je parle ici de ce qui ne peut pas être expliqué par la science (du moins, pas encore). Elle peut contenir les informations sur notre personnalité – pourquoi suis-je comme ça et pas autrement ? – ainsi que tous nos souvenirs, bons ou mauvais.


Selon la croyance (car il n’existe aucune preuve scientifique à ma connaissance), la mémoire cellulaire fonctionne comme un second cerveau. Elle garde en elle ce qu’un esprit peut enregistrer : les émotions, les souvenirs, les peurs, etc. Cependant, tout ceci serait confiné dans notre subconscient. Comme si, après un traumatisme, notre mémoire sélectionne ce qui est bon pour nous de se souvenir ou pas. Ce qui est jugé comme étant trop violent reste enfoui dans la mémoire pour nous protéger. Des moyens sont possibles pour ressortir ces mémoires, notamment certaines thérapies comme l’hypnose.


Quand est-ce que nos cellules commencent à mémoriser ? Rappelons-nous que nous sommes toutes et tous constitué.e.s à partir d’une seule cellule. La cellule se divise, et ainsi de suite, jusqu’à former un être vivant (n’est-ce pas incroyable quand y pense !?). Et si notre première cellule contenait déjà une mémoire inconsciente avec des informations précises ? Cette mémoire viendrait de qui ? Une partie de la mère et une partie du père ? Il s’agit ici de la mémoire cellulaire transgénérationnelle. Une mémoire qui voyage de génération en génération. Bien évidemment, ce phénomène ne s’explique pas non plus dans le domaine de la science ou de la médecine. Cependant, certains thérapeutes utilisent cette méthode pour aller guérir l’esprit et l’âme des personnes.



Le décodage cellulaire :

Même si je ne vois l’appellation « décodage cellulaire » nulle part, je suis persuadée que je ne suis pas la fondatrice de ce terme.


A partir des descriptions sur le décodage biologique et sur la mémoire cellulaire, voici pourquoi je nomme ma thérapie « décodage cellulaire ».


En réalité, il s’agit d’un mélange des deux thérapies décrites plus haut. Ma thérapie n’est ni l’une ni l’autre, mais un résultat des deux. Comme une recette faite maison à partir de deux autres recettes, pour en faire un meilleur plat.


Ma thérapie touche essentiellement le côté spirituel, car j’utilise mon canal médiumnique durant toute la séance afin d’être à l’écoute du corps de mon patient physique et psychique. J’utilise, de ce fait, le décodage cellulaire, pour comprendre ce qu’il y a à travailler. Par exemple, si je ressens des douleurs au niveau du bas ventre du patient, je sais qu’il y a quelque chose à aller travailler avec la maman – relation mère-enfant. En me connectant au corps, je vais ressentir des émotions, des sentiments qui vont me permettre de mieux cerner ce que la personne peut ressentir. Le décodage cellulaire est utilisé ici dans la mémoire interne et inconsciente des cellules. J’ai de ce fait, en général, une longueur d’avance sur le patient, car le but n’est pas d’effectuer le travail pour lui, mais de savoir comment le guider, pour qu’il puisse lui-même comprendre ce qu’il a à comprendre et, ainsi, guérir et pouvoir éliminer les maux psychiques et physiques.


Je commence ma séance par dire au patient ce que je ressens de lui, ce que son corps souhaite me communiquer. Je me concentre sur les chakras et sur l’âme de la personne. Pourquoi est-ce que cette personne est dans mon cabinet aujourd’hui ? Que dois-je comprendre, en tant que thérapeute, pour réussir à le guider vers sa guérison ?


Une fois cela fait, un diagnostic est posé ensemble : il s’agit ici d’une discussion tout comme la thérapie par le décodage biologique. Après cela, je plonge le patient dans un état modifié, méditatif, pour le rapprocher le plus possible de son inconscient (il ne s’agit pas d’une hypnose). A ce moment-là, je suis en lien avec la thérapie par la mémoire cellulaire, car nous allons, ensemble, chercher dans les mémoires inconscientes des cellules pour comprendre la source du problème. Cette recherche se fait dans cette vie ou dans une autre – ce qui est en lien avec les mémoires transgénérationnelles.


En lisant mon descriptif, vous devez certainement vous demander comment est-ce qu’une personne dite non-médium, non-voyante (divination) ou qui n’a aucun sens avec le monde spirituel, peut réussir à atteindre son subconscient et à ressentir ce qui s’est passé à un moment donné dans sa vie ou dans une autre vie ? Pour ce point-là, durant la séance, j’ouvre la médiumnité et l’intuition chez le patient. Oui ! Nous sommes toutes et tous médiums ! C’est simplement que la plupart des personnes ne savent pas que nous sommes capables d’être en communication avec « le monde magique » (comme j’aime l’appeler), et ne savent pas non plus comment l’utiliser. Au même titre que nous pouvons tous être cuisinier, nous ne savons pas forcément faire toutes les recettes. Aussi, même si nous pouvons tous être un très bon cuisinier, est-ce que cela signifie que nous devons en être un.e ? Je veux dire par là que, malgré le fait que nous avons tous un sens médiumnique, nous ne sommes pas tous fait pour ça. Je sais que je peux cuisiner et j’aime le faire, mais je ne me vois pas être une cheffe un jour. Je vais m’arrêter là sur ce sujet car je m’éloigne du point principal de ce post - bien qu’il m’ait semblé essentiel de l’écrire noir sur blanc. Retenons que chacun.e a sa place dans ce monde, et dans le domaine qu’il souhaite parfaire.


Ainsi, comme je le disais, durant la séance, le patient s’aventure également dans ses capacités médiumniques, et c’est ce qui l’aide à déceler ce qui ne va pas et ce qui a besoin d’être guéri. Une patiente, ignorant totalement ces capacités médiumniques, est entrée un jour en communication avec sa maman durant la séance. Cela s’est produit plusieurs fois avec d’autres patient.e.s. Un moyen supplémentaire pour avoir l’occasion de dire des mots qu’on n’avait pas eu le temps de dire auparavant…


Cela vous semble peut-être fou, mais ça fonctionne ! Si vous découvrez pour la première fois ces mots et que cela vous paraît complètement loufoque, je vous comprendrai - car moi-même j’ai été sceptique de prime abord. Après avoir expérimenté tous ces domaines et ensuite avoir testé sur mes premiers cobayes, les résultats et les retours obtenus sont encourageants et motivants.


N’hésitez pas, d’ailleurs, à consulter la page des témoignages sur mon site internet : https://www.amystique.ch/avis-decodage-de-vie.


Aujourd’hui j’ai suffisamment d’expérience, et les cobayes sont devenus des patients que je traite comme n’importe quelle autre personne, sans jugement. Et mon seul but durant toute la séance et de les aider à atteindre leur objectif : leur guérison !



En conclusion, ce que je nomme le décodage cellulaire est un mélange entre le décodage biologique et la mémoire cellulaire. Les ingrédients utilisés dans chacune de ces thérapies sont mis ensemble et forment une recette maison qui est la thérapie que je propose. J’espère qu’un jour vous aurez l’occasion d’y goûter !


N’hésitez pas à prendre contact pour une séance si cela vous intéresse, ou pour avoir de plus amples informations : https://www.amystique.ch/contact-cabinet-spirituel-amystique.


Merci pour votre précieuse lecture.


Lumineusement vôtre,

Jennifer Zanini - âmystique

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